Faire des efforts pour l'Homme, avant d'en faire pour les objets...
Pourquoi travaillons-nous tant ? Pour améliorer notre cadre de vie dans nos villes. Nous mettons plus d’esprit de sacrifice pour remédier aux problèmes du chômage des jeunes : non pas avec des palliatifs populistes et superficiels, mais en s’investissant sérieusement en temps plus qu’en argent, en intelligence plus qu’en essais infructueux, en passion plus qu’en calcul.
Ouvrons donc les yeux sur la situation humaine se dégradant toujours plus pour cause de drogues, violences juvéniles, de centaines de phénomènes traduisant un réel mal-être et un appauvrissement de l’ouverture d’esprit et de l’éthique. Faisons tout notre possible pour que chaque choix politique tienne toujours compte ces deux dernières qualités.
Mesurons-nous avec plus de détermination à la pauvreté, refusant d’en faire un acte occasionnel, favorisant au contraire de la considérer comme des tableaux complexes au sein desquels nous sommes actifs, tableaux pour lesquels la loi a toujours prévu quelque chose.
Dommage que l’incompétence, la paresse ou la légèreté la rende scandaleusement inutile.
Soyons vigilants, afin que le processus de croissance de l’inégalité entre citadins, ou groupes ou catégories sociales, ne finissent pas en favorisant ceux qui sont capables d’organiser au mieux une requête ou en valorisant au mieux ses droits, transformant ainsi l’Etat en commission servant les intérêts des plus forts.
Affectueusement,